La saga des ZRC Grands-Fonds 300 m

Comment une petite manufacture de Haute-Savoie a-t-elle réussi à produire, pendant vingt-cinq ans, des montres de plongée d’une  qualité remarquable, dont la réputation a fait le tour du monde et qui ont équipé, notamment, la Marine nationale, les Pompiers de Paris et, paraît-il, l’équipe de France de ski nautique ?

Au premier abord, les ZRC Grands-Fonds ne paraissent pas avoir un profil de star : petit diamètre, allure un peu rustre, sans parler de cette étrange idée d’enclaver la couronne à six heures, entre le boîtier et une anse articulée taillée à la serpe, pas très pratique pour la mettre à l’heure… Bienvenue en France, le pays où le sens pratique, le savoir-faire technique et une certaine forme de prétention se combinent comme nulle part ailleurs pour faire sortir des sentiers battus. Les ZRC Grands-Fonds ne ressemblent ainsi à aucune autre montre — à l’exception sans doute de la Triton Spirotechnique, autre création française.

Nées d’une rencontre improbable entre des entrepreneurs, des techniciens, des praticiens de la plongée et des militaires, tous passionnés, ces garde-temps ont fait entrer ZRC dans l’histoire de l’horlogerie.

La saga des ZRC Grands-Fonds 300 m

Au-delà des typologies proposées dans cet article récapitulatif, vous trouverez un focus détaillé sur chacune des trois principaux modèles, dits Série 1, Série 2 et Série 3, ainsi que de ceux qui en seront les héritiers.


Références

12 commentaires sur « La saga des ZRC Grands-Fonds 300 m »

  1. Eh ben… ça fait un petit moment que je n’étais pas passé par là…

    Article très intéressant et bien fourni, comme d’habitude. Mais je ne craquerai pas. J’ai déjà des vues sur les Yema Superman. On ne peut pas être partout !

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