Ami lecteur, il ne vous aura pas échappé que l’auteur de ces lignes ne jure pratiquement que par les montres mécaniques. Période fétiche : les années 1950 et 1960. Le bruit du tic-tac, le frétillement de la trotteuse, le glissement discret de la masse oscillante, l’entrelacs perpendiculaire de roues et de pignons… comment des résistances, des circuits imprimés, des cristaux liquides et des piles boutons pourraient rivaliser avec ces automates géniaux, aboutissement de plusieurs siècles de perfectionnements techniques ?